Description
AUTOGRAPHE DE CHARLES BRONSON LE BAGARREUR
Photo (tirage argentique production) 25 x 32 cm signée par l’acteur.
Nous avons personnellement obtenu cet autographe, en mai 1991.
Cette année-là, Charles Bronson vient au Festival de Cannes, accompagné de Sean Penn, pour présenter le film INDIAN RUNNER.
Malheureusement, l’arrivée à l’aéroport de Nice se fait dans une cohue indescriptible, les photographes sont très nombreux. Les deux acteurs sortent de la zone de contrôle des douanes et marchent d’un trait vers les voitures qui les attendent à l’extérieur. Il est impossible d’obtenir un autographe.
Par la suite, nous recevons l’information que les deux acteurs repartiront, peu de temps après la conférence de presse, un matin à 8h. Lorsqu’ils arrivent à l’aéroport de Nice, il n’y a personne. Sean Penn est, comme à son habitude, très raide et pas du tout affable mais il accepte quand même de signer.
Charles Bronson est différent, réservé mais pas inaccessible. Il signe d’abord des photos où apparaît Jill Ireland, qui fut son épouse. Il les signe après avoir embrassé Jill sur chaque photo. Reste cette extraordinaire photo du bagarreur.
L’acteur américain, feutre à la main, dit seulement « Where ? ». « Here, please ». Enfin, il signe avant de s’en aller. Cette photo a passé plus de trente ans dans un pressbook.
La plupart des signatures envoyées par courrier étaient faites par son épouse Jill Ireland ou un secrétaire.
Authenticité
Une signature est un souvenir, une émotion et pour certains un graal. En effet, elle est un peu de la personne que nous admirons et nous y tenons généralement beaucoup. Aussi, nous apportons le plus grand soin à l’expertise de chaque signature et nous disposons pour cela de 43 ans d’expérience dans le domaine de la chasse aux autographes en personne, de l’étude graphologique de l’écriture et de la provenance.
Nous avons, au cours des décennies, accumulé une importante base de données à partir de documents authentiques de chaque personnalité et nous accordons un soin particulier à l’expertise. D’ailleurs, quand cela est nécessaire, nous utilisons un compte-fil, loupe ultra grossissante des philatélistes, pour différencier l’encre et l’impression.
Forts de longues années d’expérience dans le domaine de la vente, nous travaillons avec déontologie et nous privilégions un rapport de confiance.